La recherche d'une "éco-économie", c'est-à-dire d'une gestion plus écologique, non seulement des milieux mais aussi des territoires, du temps, des patrimoines et des actions économiques et sociales ne peut bien sûr, ignorer la ville à la fin du siècle, alors que quatre personnes sur cinq étaient hors ses murs au début du siècle ; ce serait de l'angélisme que de restreindre l'évaluation des biens naturels à ce que l'on appelle la "pleine nature". Les biens naturels (mais sont-ils d'ailleurs si naturels ?) deviennent, en tout cas, dans l'environnement construit, une ressource rare, parfois non renouvelable et qui ne doit plus être considérée comme un bien gratuit.
Jean-Baptiste Vaquin démontre ici que l'aménagement urbain passe par la mise en œuvre d'une gestion où sont pris en compte les biens naturels. Il dégage ainsi une nouvelle rationalité dont pourront s'inspirer les responsables des villes et ceux qui aménagent les territoires avec le souci de les ménager.
Avant-propos de Serge Antoine Conseiller Référendaire à la Cour des Comptes Secrétaire Général du Haut Comité de l'Environnement
Cette recherche apporte une contribution importante à l'étude de l'intégration des coûts externes, de la gestion des biens naturels et de la réglementation. Il me semble qu'il y a grand intérêt à ce que l'ouvrage de Jean-Baptiste Vaquin soit connu de tous ceux qui ont à traiter des problèmes de l'espace urbain.
Robert Poujade
Jean-Baptiste Vaquin démontre ici que l'aménagement urbain passe par la mise en oeuvre d'une gestion où sont pris en compte les biens naturels. Il dégage ainsi une nouvelle rationalité dont pourront s'inspirer les responsables des villes et ceux qui aménagent les territoires avec le souci de les ménager.
Serge Antoine
J'ai lu avec grand intérêt cet excellent ouvrage, riche de documentation, très précis et d'une réflexion originale.