L'œuvre, l'homme, ses engagements et ses refus, tout concourt à rendre malaisé le choix d'un qualificatif exprimant la qualité d'un univers poétique dont on sent la profonde unité. De « Requiem », que Guillevic publia en 1938 et qu'on retrouvera en réédition dans cet ouvrage, à « Terraqué » et aux poèmes plus récents, peu d'œuvres poétiques nous touchent ainsi.